Le seuil de la répression pénale du fait non intentionnel

L’auteur commence par établir l’insuffisance de l’étude des incriminations de négligence et de la jurisprudence en Suisse et en France pour fixer ce seuil. Il s’intéresse ensuite à deux théories doctrinales, celles du risque autorisé en droit suisse et de l’erreur irréductible en droit français, qui établissent les faits non intentionnels devant être admis en droit pénal. L’étude se conclut par une proposition d’amélioration de l’erreur irréductible à l’aune des découvertes sur le risque autorisé.